Et que ca nous arrange, va falloir pas se leurrer.
Quand le premier Transformers sort en 2007, c’est legerement le gros choc. Deux mondes qui se rencontrent, celui de Michael Bay et celui de Steven Spielberg, pour donner life a l’une des licences de jouets les plus populaires de l’univers. Gros carton, K.O. technique, aussi si la soiree ne est en mesure de ne pas enormes faiblesses scenaristiques et un jeu d’acteurs parfois hasardeux. Mais le spectacle reste la et c’est le plus important.
Petage de cable integral
Sauf que, probleme, les films suivants ne vont jamais aller en s’ameliorant, Michael Bay disant ouvertement qu’il en a sa claque des Autobots mais ne pouvant se desister aussi sans probli?me. Resultat des courses, des le second film, on https://besthookupwebsites.org/fr/trueview-review/ bascule dans le n’importe quoi le plus total, dans la beauferie absolue et cela ne se dementira jamais jusqu’a l’ininteressant Transformers 5 : The Last Knight qui, non content de malmener la chronologie du monde, n’en a clairement plus rien a faire de son public ainsi que toute notion de coherence.
Aussi, l’arrivee du Bumblebee de Travis Knight, sorti a Noel soir, apparaissait tel une bouffee d’oxygene. Un spin-off situe en 1987 en forme d’origin story, au budget moindre que la saga principale mais a la volonte plus intimiste aussi. Si le succes n’a gui?re ete autant au rendez-vous qu’escompte (la soiree n’a rapporte “que” 458 millions de dollars contre 605 millions pour Transformers 5), tout le monde a salue l’effort et l’envie de voir la saga emprunter ce chemin plutot que l’autre.
Plus peu peuplee, mais tellement plus sincere
Et c’est peut-etre ca, justement, qui a pousse Hasbro et la Paramount a Realiser une annonce fracassante lors du dernier Toy Fair de New-York ce week-end. Continue lendo “Ca nous fera joie de reparler de lui tiens, surtout parce qu’on sait d’avance votre qu’on va vous dire.”